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Sejour Maroc
2.2.07,12:18

Stations Rupestres
Relevant du temps de la préhistoire, à l ’ Âge du Fer ou du Bronze; sur les parois des cavernes, de magnifiques gravures et dessins préhistoriques ont été découverts au Maroc à plusieurs endroits et dont le plus important reste la station «Foum-Al-Hisn» où des gravures témoignent d ’ un passage d ’ environ 3000 av J-C.


Station rupestre du "Haut-Atlas"
«Haut-Atlas» : Vers 1600 av.J-C, à l ’ Âge du Bronze, des pasteurs berbères gravèrent sur des rochers du Haut Atlas des représentations d ’ outils de chasse tels que poignards, haches, boucliers et autres. Ces objets étaient utilisés autrefois pour la chasse et la pêche par les Maurétaniens.

Station rupestre "Oukaîmeden"
«Oukaïmeden»: Située à quelques kilomètres de Marrakech, à l ’ entrée de la station d ’ Oukaïmeden, une multitude de rochers de grès rouge sont ornés de gravures rupestres réalisées à l ’ Âge du Bronze. Identiques à celles retrouvées en Europe, elles authentifient l ’ existence à cette époque, de communication entre les deux continents.

Station rupestre "Foum Al-Hisn"
«Foum Al-Hisn» : A bord de cette station, située à 6 km d ’ Icht ou près d ’ Akka, ont lieu plusieurs sites d ’ images gravées sur le grès, représentant des antilopes, chars à deux roues, éléphants, bovidés… composant ainsi des milliers de tableaux. Ces gravures témoignent du passage ( vers 3000 av.J-C )d ’ un monde de chasseurs à un monde de pasteurs.

Station rupestre "Tinzouline"
«Tinzouline» : Connue pour son ksar et sa merveilleuse casbah, Tinezouline et sa région forment un site préhistorique des plus importants du Maghreb présaharien. On pourrait y découvrir des représentations d ’ origine Libyco-Berbère sur des pierres noires désignant des cavaliers chasseurs probablement de l ’ Âge du Fer.
 
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29.1.07,15:21

Sites Antiques
Ruines de Benassa
Ruines de Benassa : Fondée au III ème siècle av. J-C., cette cité ne fût découverte qu ’ en 1871, il y subsiste encore les vestiges d ’ un forum, d ’ un capitole, d ’ une basilique ainsi que de plusieurs temples. Cette ancienne cité Romaine fût le port le plus avancé des Romains en Maurétanie Tingitane.

Ruines de Lixus
Ruines de Lixus : Selon la mythologie grecque, c ’ est dans la région de Lixus (située à 6km de Larache) qu ’ Hercule accomplit son avant dernière prouesse qui consistait à cueillir les pommes d ’ or dans le jardin des Hespérides situé sur le Mont Atlas. Lixus demeura une ville importante jusqu ’ à la fin du III ème siècle qui marqua son déclin, d ’ où la disparition de l ’ Empire Romain. Même ceux que l ’ archéologie indiffère escaladeront la butte, ne serait ce que pour jouir de la vue splendide de l ’ Océan, des méandres de l ’ Oued Loukous et de la ville de Larache. L ’ Unesco à prévu de classer le site en tant que Patrimoine Mondial.

Vestiges de Cotta
Vestiges de Cotta : Les vestiges de Cotta se trouvent à environ 500 mètres des grottes d ’ Hercule. Datant probablement des II ème et III ème siècles, il reste encore les vestiges d ’ un temple, de thermes, de fermes et de grandes cuves cimentées, témoignant d ’ existence à l ’ époque, d ’ huileries et d ’ usines à garum.

Ruines de Volubilis
Ruines de Volubilis : Au pied du Jebel Zerhoun s ’ élèvent les ruines Romaines de Volubilis. Fréquentée dès la néolithique par les Carthaginois, la cité devint Romaine en 40 av. J-C. et connut une grande prospérité grâce au commerce de l ’ huile. Occupée et ensuite abandonnée par les Berbères vers le IX ème siècle, la résidence du Roi Juba II disparut après le tremblement de terre de 1755.
 
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,13:03

Cité Impériales
Fès…Cité impériale
Mosquée Al Qaraouiyine : La fameuse mosquée a été fondée en 857 dans un quartier occupé par des réfugiés kairaouanais, d ’ où le nom qu ’ elle porte. Agrandie et embellie par l ’ Almoravide Ali Ben Youssef en 1135, cette mosquée demeure l ’ une des plus vastes du Maghreb et surtout le plus ancien centre de précepte religieux de la région.

Bab Semmarine : Cette porte dominante à voussures multiples, raccommodée en 1924, forme la véritable entrée du quartier Fès El-Jédid. A droite, sous la voûte, se trouve un marché d ’ alimentation haut en couleur. Il a été installé dans d ’ anciens silos Mérinides.

Borj Sud : Cette fortification fut construite par des esclaves chrétiens sous la souveraineté du Sultan Sâadien Ahmed El Mansour Eddahbi. Ce site non loin de Bab Ftouh, fut établi pour tenir en respect les habitants de la ville de Fès et non pas pour les défendre comme le prétendent la plupart.

Borj Nord : De style Portugais, ce bastion contemporain du Borj Sud, couvre le musée des Armes. Dans Onze salles, celle-ci sont exposées chronologiquement, de la pierre taillée au canon. Toutes les nationalités y sont représentées.

Palais Jamaï : Ce palais édifié en 1879, contient un patio ainsi que des façades internes très finement décorées, composant un mixage des plus harmonieux entre mosaïques de zellige, de stucs et de marbre. Il fut transformé en hôtel de luxe en 1930.

Dar El Makhzen : Donnant sur la place des Alaouites, vaste esplanade monumentale de quelque 80ha, le somptueux Palais Royal éblouit tous les regards de par son superbe portail d ’ apparence mauresque, où le vert des tuiles symbolise l ’ Islam, tandis que le bleu des mosaïques rappelle les couleurs de Fès.

La Place En-Najjarine : Cette Place tire son nom du souk des ébénistes qui se tient derrière une porte en bois dans une ruelle en contrebas. Sa fontaine est splendide et peu commune. Au fond de la place se trouve le Fondouk Nejjarine construit au XVIII ème siècle et récemment converti en mosquée.

Médersa Al Attarine : Donnant sur le souk du même nom et face à la Grande Mosquée, ce chef-d ’ Oeuvre de l ’ art Mérinide de Fès fut érigé sous le règne d ’ Abou Saïd entre 1323 et 1325. A partir de la terrasse s ’ installe une vue imprenable de la ville et de la nécropole Mérinide.

Tombeaux Mérinides : De cette tertre qui domine la ville, le paysage de Fès El Bali et de la vallée du Sebou est resplendissant. La majorité de ces tombeaux datent du XIV ème siècle, pour la plupart très détériorés, ils constituent un premier plan romantique a l ’ un des plus beaux panoramas de Fès.

Bab Ftouh : Cette issue de la ville a été bâtie sur l ’ emplacement d ’ une porte plus ancienne, et reconstruite sous le règne de Sidi Mohammed Ben Abdellah au milieu du XVIII ème siècle . A l ’ extérieur de la muraille, plus haut, s ’ étale le cimetière Bab Ftouh, où reposent les corps inhumés des plus célèbres professeurs d ’ Al Qaraouiyine.

Marrakech…Cité impériale
La Ménara : Ce séduisant pavillon du XIX ème siècle est l ’ un des sites les plus célèbres de la ville, il est l ’ image symbole de Marrakech. Ce dernier se distingue par les innombrables tuiles vertes qui se reflètent dans son immense bassin et, en arrière-plan, les hauteurs montagneuses souvent enneigées de l ’ Atlas.

Mosquée Koutoubia : Représentant le point de repère le plus réputé de Marrakech, du haut de ses 77 mètres, son minaret propulse son ombre protectrice sur l ’ ensemble de la ville depuis plus de huit siècles. Cette figure doit son nom aux libraires «Koutoubiyin» qui y mettaient leurs livres à la portée des élèves en sciences coraniques étudiant à l ’ intérieur de l ’ édifice.

Palais de la Bahia : Toute proche des palais royaux de la ville, cette vaste demeure fût érigée au XIX ème siècle et sur ordre du grand vizir du Sultan. L ’ édification de ce site dura si longtemps qu ’ elle ne fût achevée qu ’ après sa mort par son fils. Sous le protectorat, le premier résident français, le Maréchal Lyautey fit de ce joyau sa résidence.

Palais El Badii : De cet édifice, il ne demeure encore que les structures, car, du légendaire Palais d ’ Ahmed El Mansour, il ne reste rien: onyx, marbres, stucs.. tout à été dévasté sur l ’ ordre de Moulay Ismaël, en 1696, pour embellir ses résidences royales de Meknès.

Bab Ahmar : Ce qui signifie «la Porte Rouge». Construite par les Alaouites au XVIII ème siècle, elle était uniquement réservée aux Sultans qui gagnaient par là le palais tout proche. Son emplacement actuel se trouve à proximité du palais royal et du Jardin de l ’ Agdal.

Tombeaux Sâadiens : A la fin du XVI ème siècle, la nécropole Sâadienne comptait de nombreux mausolées dont un qui fût construit pour abriter la tombe du Sultan Ahmed El Mansour. La sépulture est exposée dans la salle des douze colonnes qui renferme également plusieurs tombeaux Alaouites.

La Mosquée Ben Youssef : D ’ origine Almoravide, ce bâtiment fut restauré au XVI ème siècle, ensuite au début du XIX ème siècle. Son immense et puissant minaret en pierre surpasse les toits en tuiles vertes vernissées à plus de 40 mètres de hauteur.

Place Jamâa El Fenaa : La plus célèbre place du Maroc est souvent caractérisée par une foule de bateleurs, de marchands et d ’ acrobates qui, du matin jusqu ’ au soir, font de cet espace unique, l ’ immense scène d ’ un spectacle permanent et riche, un véritable festival de distractions et de restauration.

Dar El Glaoui : Cette magnifique demeure, masquée par de très hauts remparts, fut construite au début du XX ème siècle par le Pacha de Marrakech. Une tranche est utilisée aujourd ’ hui comme bibliothèque, une autre à été restaurée et sert aujourd ’ hui à recevoir des chefs d ’ états.

Bab Aguenaou : Construite par le Sultan Almohade Abdelmoumen en 1150, cette porte marquait autrefois l ’ entrée solennelle du palais royal, mais servait aussi, à en croire les chroniques anciennes, a exposer les têtes des suppliciés après leur exécution. les motifs dont dispose cette porte, se composent d ’ arabesques encadrées d ’ écritures, portant la griffe de la dynastie Almohade.

Meknès… Cité impériale
Bab Mansour : La plus belle porte du Maroc a été commencée sous le règne de Moulay Ismaël pour ainsi être achevée par son fils, le Sultan Moulay Abdellah en 1732, elle tire son nom de «Mansour El Aleuj» chrétien converti qui en aurait été le créateur.

Place El Hadim : Ce vaste parvis, dominé par Bab Mansour, constitue le passage entre la médina de la ville impériale. Le soir, cette place s ’ insuffle et devient un grand lieu de retrouvailles de la ville; récemment aménagée, elle est aujourd ’ hui entourée de bâtiments modernes et abrite un marché très coloré où l ’ on peut acheter les fameuses olives de Meknès.

Médersa Bouanania : Œuvre des Sultans Mérinides Abou El-Hassan et Abou Inane, cette école coranique se fait remarquer par son admirable décoration de faïence émaillée, de plâtre et de bois finement sculptés.

La Grande Mosquée : C ’ est le bâtiment religieux le plus important de la médina. Erigée par les Almoravides au XII ème siècle, la mosquée fut retouchée a une époque contemporaine de la Médersa Bouanania de la même ville.

Le Mausolée Moulay Ismaël : L ’ ensemble, ayant été aménagé au temps du Sultan Mohammed V, ce site se compose d ’ une salle superbement décorée de plâtre sculpté, d ’ où l ’ on discerne le tombeau du Souverain, et où des horloges offertes à l ’ époque par Louis XIV font figure, au moment où ce dernier refusait d ’ accorder la main de la future princesse de Conti au défunt.

Le Bassin de L ’ Agdal : Cet immense étang s ’ étale sur une surface de 4ha, il fut creusé par le Sultan Moulay Ismaël. Ce dernier était destiné a arroser les jardins du Palais et à procurer en eaux, les bains de son harem. Aujourd ’ hui il représente un lieu de promenade pour les riverains.

Bab El Khmis : C ’ est l ’ une des plus jolies portes de l ’ enceinte. Moulay Ismaël fit graver sur le fronton: «je suis la porte ouverte à tous les peuples, qu ’ ils soient d ’ Occident ou d ’ Orient».Ce monument se caractérise néanmoins par son architecture de tuiles d ’ Andalousie et de sculptures en arabesques».

Le Musée Jamaï : Le site offre un exemple de décoration propre à l ’ époque Alaouite. Un nombre illimité de poteries anciennes, de corans et de caftans font refuge dans les diverses salles de l ’ ancien Palais qui abrite le musée. Aussi, à côté du bâtiment, son jardin interne, rempli de chants d ’ oiseaux et de plantes exotiques, fait parler de lui-même.

Les Haras : Ce vaste domaine s ’ étend sur une surface de presque 80ha. On y élève près de 500 chevaux, la majeure partie est pur-sang arabe, alors que la minorité restante est de race berbère. Les premières écuries des étalons se situent à environ 200 mètres de l ’ entrée principale.

Le Dar El Ma : Ces échoppes voûtées aux proportions colossales sont également l ’ œuvre du Sultan Moulay Ismaël. Ces dernières, de par la consistance de leurs murs, garantissaient une température constante qui assurait la conservation des denrées stockées.

Rabat… Cité impériale
La Nécropole de Chellah : Edifice originaire de l ’ époque Mérinide, ce monument se compose de deux sites: la nécropole elle-même et l ’ antique cité de Sala. Le cohérence de ces deux ruines, avec leur végétation abondante, forme l ’ un des lieux les plus captivants de Rabat.

Casbah des Oudayas : Le quartier fortifié des Oudayas doit son nom à l ’ installation, à Rabat, d ’ une formation composée d ’ un contingent de la tribu des Oudayas (peuple originaire d ’ Arabie qui pénètre au Maroc XII ème siècle). La cité se compose essentiellement d ’ une enceinte, d ’ une porte, d ’ une mosquée, d ’ un musée et d ’ un très joli jardin.

La Tour Hassan : Elle est le minaret d ’ une mosquée construite sur l ’ ordre de Yacoub El Mansour. Grande tour carrée de 16 mètres de côté et de 44 mètres de hauteur et bien que restée inachevée par la Dynastie Almohade, c ’ est au pied de cette bâtisse que fut décidée la construction du Mausolée Mohammed V.

Mausolée Mohammed V : Situé en face de la Tour Hassan, ce mausolée est placé sur un socle haut d ’ environ 3 mètres et surmonté d ’ un toit pyramidal recouvert de tuiles vertes. A l ’ entrée, se trouvent les escaliers qui mènent à la Kouba, soit le sarcophage de Feu S.M le Roi Mohammed V. A ses côtés, sont scellésle tombeau de feu S.M le Roi Hassan II et celui de son frère feu S.A.R le Prince Moulay Abdellah.

Mosquée Es-Sounna : La Mosquée Es-Sounna fut bâtie au XIII ème siècle par le Sultan Sidi Mohammed Ben Abdellah, puis remaniée à plusieurs reprises. Ce site de style néo-mauresque se situe en face du Palais Royal dans la ville nouvelle.

Le Bab Rouah : Ce terme signifie «la porte des Vents», c ’ est la plus belle de la fortification Almohade. Par ses proportions et ses enjolivures, elle rappelle celle de la Casbah des Oudayas.

Bab Zaer : Grande porte de couleur ocre, celle-ci est composée de plusieurs pièces arquées et d ’ une multitude de passages disposés en chicane.

Bab Mrissa : Cette porte permettait d ’ accéder au petit port intérieur de Salé aujourd ’ hui enlisé, que les Mérinides avaient fait creuser en 1260 pour offrir la sécurité des remparts.

La Grande Mosquée : Elle se situe en face de la Médersa de Salé. Elle fut érigée à la fin du XII ème siècle, puis modifiée et rétablie par le Sultan Abou El Hassan au XIV éme siècle. Cette dernière se distingue des autres par ses portes enjolivées de mosaïques et chargées de frises d ’ arcatures à stalactites.

La Médersa de Salé : Edifiée en 1333 par le Sultan Abou El Hassan, elle servit de logis pour les étudiants de la théologie coranique. Elle est certes petite de dimension, mais bien équilibrée dans ses proportions.
 
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Les Casbahs
Casbahs du Grand Atlas
Casbah d ’ Imilchil : C ’ était autrefois une casbah qui marquait le territoire des Aït Hadiddou, importante tribu semi-nomade berbère au folklore très riche, peuplant une région riche en massifs montagneux baptisée «le petit Tibet» parles Français en raison de son climat rude et de ses paysages austères.

Casbah de Tamdaght : Se situant à quelque 6km d ’ Aït Benhaddou, cette ancienne résidence du Glaoui est en cours de restauration. De style Hispano-Mauresque, ses pignons néoclassiques s ’ enchevêtrent aux colonnes à chapiteaux corinthiens et aux somptueux plafonds en plâtre sculpté.

Ksours du Sud
Ksar de Maadid : Ce site se trouve à environ 50km de Meski. Il est entouré d ’ une haute muraille en pisé et se constitue de plusieurs ruelles pour la plupart très sombres sur une bonne partie de leurs parcours et qui se coupent à un angle droit. Le visiteur ne manquera pas de remarquer quelques dunes sur la route, annonçant déjà le désert du côté d ’ Erfoud tout près.

Ksar Abbar : Probablement construit au début du XIX ème siècle, ce site servait de résidence aux membres de la Famille Royale Alaouite ainsi qu ’ aux femmes des Sultans décédés. Il fût aussi choisi pour la protection d ’ une partie du trésor royal, d ’ où l ’ existence de plusieurs canons sur la place.

Ksours Glaoui
Ksar d ’ Aït Benhaddou : Inscrit au patrimoine mondial de l ’ Unesco, ce village renforcé, agrémenté de tours découpées, est considéré à juste titre comme l ’ un des plus beaux du pays. Des travaux d ’ embellissement ont été effectués afin de protéger de l ’ érosion, les maisons en terre déjà abîmées et surtout encourager les riverains à réintégrer le village.

Ksar de Tifoulfoute : Ce Ksar se situe à la sortie de Ouarzazate. Il fut construit en milieu du XIX ème siècle. Belle demeure du Glaoui, celle-ci est aménagée en auberge de nos jours. Elle offre une vue féerique sur la vallée de l ’ Oued Ouarzazate et le massif du Sarhro.

La Casbah de Taourirt : La plus grande et plus ancienne résidence du Glaoui est située à la sortie de la ville de Ouarzazate. Classée monument historique, cette cité de style médiéval est considérée comme l ’ une des plus admirables du Maroc.

La Casbah de Télouèt : Dans les années 20, avant la construction de la route du Tiz-N-Tichka par la légion étrangère. Télouèt formait le passage incontournable des caravanes allant de Marrakech à Ouarzazate. S ’ ouvrant sur l ’ Oued Imaren, entourée de bourgades en hauteur, la casbah fût bâtie au XIX ème siècle, puis agrandie et majestueusement aménagée.

Mille Casbahs de My Ismaïl
Casbah de Boulaouane : C ’ est dans un site remarquable, surplombant les méandres majestueux du fleuve Oum-Rbîi que se trouve la Casbah de Boulaouane. C ’ est un château fortifié qui a été érigé par le grand Moulay Ismaïl en 1710, d ’ où l ’ inscription de la fondation au nom de ce dernier sur le fronton de la grande porte monumentale. Il ne subsiste encore de cette magnifique casbah que les ruines de la demeure royale, d ’ une mosquée et d ’ entrepôts mitoyens.

Ksar oulad Abdelhalim : C ’ est à Rissani, non loin du Mausolée de Moulay Ali Chérif (fondateur de la Dynastie Chérifienne Alaouite), que l ’ une des casbahs les mieux conservées de tout le Tafilalet trouve refuge, elle a été édifiée par le Sultan Moulay Ismaïl et a servi de résidence au Sultan Moulay Rachid, gouverneur du Tafilalet à l ’ époque. La casbah demeure toujours propriété de la Famille Royale.
 
posté par Kounouz Biladi
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